Chris de Burgh

Né en 1948 à Venado Tuerto en Argentine, sous le nom de Christopher J. Davison, d’un père diplomate, Charles Davison, et d’une mère secrétaire, Emily Maeve de Burgh, dont il prendra le nom de jeune fille comme pseudonyme, Chris de Burgh est un chanteur, compositeur, musicien britannico-irlandais qui réside en Irlande au sud de Dublin avec sa femme Diane et ses enfants. Il a grandi dans plusieurs pays dont le Nigéria et, alors qu’il est âgé de douze ans, ses parents font l’acquisition d’un château du XIIe siècle en Irlande et le transforment en hôtel. Là, il peut apprendre la guitare et jouer ses premières compositions en public. Il donne des centaines de concerts auprès d'invités de l'hôtel et commence à envisager une carrière de musicien. Bientôt, il se rend à Londres pour tenter de décrocher un contrat. Après deux années d'échecs, il signe avec la maison de disques A&M Records en 1974 et fait la première partie du groupe Supertramp lors de leur célèbre tournée Crime of the Century. Les années 1980 lui sont très favorables. La chanson « Eastern Wind » connaît un succès phénoménal en Norvège. En 1982, l'album The Getaway, qui contient « Don’t pay the ferryman », se classe assez bien en Angleterre et aux États-Unis. En 1984, l'album Man on the line figure dans le Top 30 en Angleterre, aux États-Unis et dans une vingtaine d’autres pays. Il contient un titre qui fera lui aussi le tour du monde : « High on Emotion ». L’album Into the light en 1986 lui permet d’atteindre la consécration en tant qu’artiste de renommée internationale. Une chanson de cet album, « The Lady in red », devient un retentissant numéro un dans plus de vingt-cinq pays. Jusqu’à ce jour, cette chanson demeure l’une des plus diffusées à travers le monde. Depuis lors, sa popularité ne cesse de grandir et ce spécialement en Allemagne où il se produit très régulièrement. L'année 2004 voit le renouveau de Chris de Burgh, car il dirige désormais sa propre maison de disques sous le label Ferryman Productions, ce qui lui permet d'être plus libre dans son travail. Au mois de mars il sort The road to freedom. Le succès que remporte cet album est considérable puisque Chris de Burgh entame dans la foulée une longue tournée en solo, piano et guitare, en complète harmonie avec son public. On l’écoute sur YouTube dans un de ses plus beaux morceaux « Natasha dance » :