En 1915, Théodore Botrel écrivit sur l’air – si beau – de « La tonquinoise », de Vincent Scotto, une chanson pour mitrailleurs (vous pouvez l’écouter sur :http://www.dutempsdescerisesauxfeuillesmortes.net/paroles/ma_mitrailleuse.htm), qui commence par : « À la guerre/ On n'peut guère/ Trouver où placer son cœur ».