Jacques Brel

Le 20-3-2016 : on a pu voir une émission consacrée à Jacques Brel, sur France 2, on a (re)découvert celui qui aimait bien parler avec les gens du coin, le mariage avec celle qui lui avait demandé trois jours pour réfléchir, le grand saut avec Jacques Canetti, celui qui est sorti peu à peu de l’anonymat en 1955, qui a composé « Quand on n’a que l’amour » une chanson d’amour à la demande de Canetti, une autre vie avec une autre femme, celui qui a décidé en 1966 de s’arrêter de chanter quittant la scène en pleine gloire, la passion de l’aviation dans une école de Genève, quelques films : notamment « L’aventure c’est l’aventure » de Claude Lelouch, celui qui voulait parcourir le Monde sur un voilier, une tumeur cancéreuse au poumon gauche, aux îles Marquises : je ne suis pas connu ici, celui qui n’a jamais pleurniché sur sa maladie, une autre femme qui a veillé sur lui, un dernier album, plusieurs hospitalisations, celui qui est mort en 1978 à 49 ans, et auquel nous consacrons une page d’anthologie : http://www.musicalitis.com/anthologie/jacques-brel…//////// Et aussi une émission consacrée à Eddy Mitchell sur France 3, Nashville ou Belleville, la passion pour une Amérique imaginaire, un minimum de deux films par jour, Souchon disant qu’il y a quelque chose qui sort de ses chansons, le rock au Golf Drouot qui passait des disques de Paul Anka, un peu de Chaussettes noires avec « Be Bop a Lula », le succès au rendez vous, « Tu parles trop » et « Daniela », carrière en solo à partir du retour de la guerre d’Algérie, en 1963, très discret sur sa vie de famille, sur Françoise et ses deux enfants, « j’ai oublié de t’oublier » et « Société anonyme », le temps des fêtes à Saint-Tropez autour d’Eddy Barclay, le jeu, un enregistrement à Nashville, « Sur la route de Memphis », « Pas de Boogie-woogie » avant votre prière du soir, « A crédit et en stéréo », et tant pis s’il n’y a pas d’Amérique, le chômage avec « Il ne rentre pas ce soir », le divorce avec « Tu me prépares un café noir », sa seconde femme et leur fille, « La dernière séance », « Vieille canaille » avec Gainsbourg, les films comme « Coup de Torchon » de Bertrand Tavernier qui ne tarit pas d’éloges, Eddy à qui nous avons consacré jadis une page d’anthologie : http://www.musicalitis.com/anthologie/eddy-mitchell

 

 

Publié le : 
20 Mars 2016
Auteur : 
Jérôme Huet
Source(s) : 
Divers